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Ecarlate La compagnie est à l’initiative de ce projet de lectures. Compagnie bruxelloise créée en 2009 qui a pour but la création artistique ainsi que la diffusion, l'éducation et/ou la promotion de l'expression artistique sous ses différentes formes. Le théâtre se situant là où se pose la question de l’individu au sein de la société et des tensions qui en découlent, les créations d’Ecarlate La compagnie ont pour enjeu d’examiner l'être humain dans ses rapports à la nature et à la culture. Réduire l'espace existant entre l'acteur et le spectateur et créer une tension oscillant entre provocation et convivialité. Explorer la ludicité et l'universalité du théâtre et s’aventurer dans de nouvelles formes. Avec cette idée que le théâtre doit sortir du théâtre, les projets sont souvent accompagnés d’un volet éducatif.

La Deuxième Scène au National

La Deuxième Scène

Lancement du projet La Deuxième Scène, le vendredi 7 décembre 2018 au Théâtre National.

Cette journée a comporté des conférences avec Aurore Evain, Jean-Philippe Van Aelbrouck et Valérie André.

Informations sur l’histoire de la professionnalisation des femmes et de leur contribution aux arts vivants : lien.

Prix Sony Lanbou Tansi en 2018 Kinky Birds nominée.

Belle reconnaissance pour la pièce Kinky Birds publiée chez Lansman Editeur et nominée au Prix Sony Lanbou Tansi 2018.  

Catherine Salée miaule vraiment bien !

Karoo – 20 février 2017 par Malvine Cambron dans Scène |

Kinky Birds de Elsa Poisot : une pièce où l’on ne comprend pas ce qui est kinky ni où sont les oiseaux mais dans laquelle Catherine Salée miaule vraiment bien.

Kinky Birds au Centre Wallonie Bruxelles à Paris

affiche
AFFICHE KINKY BIRDS © Alessandre Gallo – Strani Incontri

En résidence à La Chartreuse !

Villeneuve lez Avignon pour démarrer la première étape d’écriture de The spanish Prisoner / La Prisonnière Espagnole, prochain projet porté par la Cie.

«La violence urbaine est plus que la violence, parce qu’elle signifie la fragilité de l’auto-affirmation du groupe social. L’état de nature est le lieu de tous les dangers et les hommes y sont égaux dans la vulnérabilité (…) Le pacte social, c’est le renoncement à l’usage de la force, sous la condition que les autres y renoncent aussi. On comprend donc en quoi la violence urbaine est une surviolence : elle signifie l’intrusion du péril au sein même du lieu qui devait en garantir l’absence. Aussi la violence urbaine suscite-t-elle des réactions émotionnelles complexes et profondes : l’effroi que provoque tout spectacle de l’agression physique s’y double de la peur archaïque de l’état de nature.»  

Art et violence urbaine, Carole Talon-Hugon

A vos agendas

Au Festival de Liège/Factory
les 17 et 18 février > 20h00
Cité Miroir, Place Xavier Neujean, 22
4000 Liège
Au Centre Wallonie Bruxelles
les 22 et 23 mars > 20h00
46 rue Quincampoix
75004 Paris
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